La vie m’écrase comme une mouche dans cette société où je n’ai jamais eu ma place.

Vie dans laquelle j’ai toujours été à part et différente.

Je fuis cette vie comme la peste.

Pourquoi n’ai-je jamais pu être comme « tout le monde » ? Cette question trotte en continu dans ma tête…  

Vivre ainsi m’indiffère et m’écœure même. Non, correction faite, ce sont plutôt les personnes qui m’écœurent par leur individualisme et leur manque de cœur.

J’ai plus peur de vivre que de mourir, alors pourquoi continuer à me battre contre un ennemi invisible.

J’ai peur que cette vie ne soit pas pour moi, mon idéal n’est pas de ce monde.

Je suis une mutilée de la vie, un être associable, un personnage qui voit la vie différemment.

Je suis de l’autre côté de la ligne blanche avec un façon bien à moi de voir et d’appréhender les choses.

« Tu coules un peu plus chaque jour comme un Titanic humain. Tu es submergée par tes pensées et tes émotions, tu te débats, tu suffoques car personne ne peut te repêcher.

Tu es vide de sentiments, ton âme est un cadavre mais ton cœur bat toujours » 

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